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Au revoir les enfants (scénario)

Fiche descriptive
Séquence didactique
Annexes
Au revoir les enfants (scénario)
MALLE, Louis
Par Joanie Tanguay


Nationalité de l'auteur : Française
Genre : Autres
Courant : Postmodernité
Siècle : 20e siècle
Groupe d'âge visé : Collégial
Auteur de la séquence : Joanie Tanguay
Date du dépôt : Hiver 2013


Au revoir les enfants : présentation de l’œuvre, problématique et objectifs d’apprentissage

           

Cette séquence didactique portera sur le scénario Au revoir les enfants, publié en 1987. Le film qui en découle est sorti la même année et a volé les honneurs à la treizième cérémonie des Césars en 1988 (meilleur film français, meilleur scénario original, meilleur réalisateur, meilleure photo, meilleurs décors, meilleur son[1], etc.); sa renommée cinématographique n’est donc plus à faire et constitue, pour nous, un motif valide pour construire une séquence sur son texte.

Les activités proposées pourront se tenir à l’intérieur du programme du deuxième cours de français au collégial, Littérature et imaginaire (601-102-MQ) et permettront d’atteindre l’énoncé de la compétence du cours qui est d’« expliquer les représentations du monde contenues dans des textes variés et de différentes époques[2] ». Pour ce qui est de la diversité des textes et des époques, il n’est pas coutume d’étudier un texte scénaristique assez récent à l’intérieur d’un cours de français de la formation générale au collégial. La représentation du monde contenue dans le scénario réside en l’actualisation et la présence toujours palpable de l’antisémitisme dans notre quotidien (ce point sera démontré notamment dans la première activité de la séquence).

Au revoir les enfants propose plusieurs problématiques de lecture, prouvant ainsi sa pertinence didactique. Outre la nouveauté de lire un scénario pour les étudiants, le principal problème de lecture s’inscrit dans les non-dits sous-entendus dans les indications du scénario et dans les dialogues des personnages. Ainsi, la problématique centrale de cette séquence consiste à expliquer et à démontrer l’évolution des rapports entre les personnages dans Au revoir les enfants. Cet aspect ne semble pas être visible à la simple lecture du scénario, car notre attention est inévitablement dirigée vers l’intrigue première se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale (au fil de la lecture, nous découvrons, avec Julien, que Jean Bonnet est un juif caché dans le pensionnat surveillé par la Gestapo).

 

Les objectifs spécifiques d’apprentissage visés pour cette séquence sont les suivants :

  • Décrire le contexte sociohistorique de la France occupée des années 1940;
  • Développer sa capacité à travailler en équipe;
  • Communiquer de façon respectueuse et claire lors des échanges entre collègues;
  • Démontrer l’évolution des rapports entre les personnages;
  • Illustrer cette évolution par le biais d’une activité créatrice (le théâtre-image);
  • Comparer leurs choix de mise en scène avec ceux du réalisateur du film Louis Malle;
  • Rédiger un commentaire de 400 mots.

 

La disposition des activités de cette séquence s’étend sur six cours de deux heures, excluant le travail qui devra être fait par les étudiants en dehors des heures de classe.

 

AVANT LA LECTURE

 

Activité 1 : Le dossier de presse et l’antisémitisme aujourd’hui (50 minutes)

 

L’enseignant aura, au préalable, annoncé la lecture du scénario à la classe et exposé les grandes lignes de l’histoire (le contexte de la Shoah, le lieu du déroulement du scénario, les personnages principaux, etc.). Le dossier de presse (préparé par l’enseignant et lu avant cette séance par les étudiants) constitue une méthode de contextualisation intéressante avant d’entrer dans l’univers narratif du scénario étudié. Cette pratique pédagogique permet d’initier les étudiants à la réalité qui est au centre de l’œuvre, c’est-à-dire la France divisée dans les années 1940 entre sa défense contre les préjugés, son action résistante à l’ennemi et sa collaboration avec l’Allemagne nazie. Une discussion en équipe est proposée aux étudiants à la suite de la lecture du dossier de presse afin d’aborder les effets de la division de la France sur le climat sociopolitique de l’époque ainsi que sur les visions que les gens peuvent avoir du camp opposé. Des questions comme « Qui sont les “bons” et les “méchants”? », « Que faire si les deux groupes se rencontrent au sein d’une même institution (famille, travail, école)? », etc. seront proposés aux équipes afin de raviver la discussion s’il y a lieu.

Par la suite, les étudiants sont invités à regarder une courte présentation magistrale de l’enseignant grâce au logiciel Prezi sur le néonazisme et sur l’antisémitisme qui sont toujours présents dans la collectivité en 2013[3]. Il s’agit ici de mettre en lumière l’actualité de l’intrigue soutenue (la haine envers les juifs) dans Au revoir les enfants (le film a été produit en 1987) par le biais de capsules vidéo, d’entrevues et de courts articles. Cet exercice d’actualisation permet de mieux cerner les représentations du monde de l’auteur/réalisateur et la présence de l’antisémitisme dans la mentalité collective, et ce, bien longtemps après la Seconde Guerre mondiale.

 

Activité 2 : La littérature de mémoire[4] : le cas de la bande dessinée Maus (30 minutes)

 

À l’intérieur de la même séance de cours, l’enseignant présente quelques planches tirées de l’album Maus l’intégral. Il s’agit d’un exemple visuel et concret de contextualisation et d’actualisation de l’antisémitisme en littérature. Exposer la bande dessinée en début de séquence permet de faire un lien intéressant avec le septième art qu’est le cinéma : les deux médiums utilisent les images pour faire passer un message. De plus, les deux œuvres proposent une puissance semblable dans les images exposées : peu de choses sont dites et montrées, mais tout est dans l’implicite, dans le non-dit. Les étudiants sont amenés à plonger dans l’implicite en ce début de séquence, car leur exercice de création portera, entre autres, sur cette problématique d’interprétation.

 

Activité 3 : Introduction à la théorie sur le scénario et le cinéma (20 minutes)


Cette dernière partie de la séquence est réservée à un exposé de type magistral de la part de l’enseignant sur la théorie du scénario. L’importance des indications (qui s’apparentent aux didascalies utilisées au théâtre) ainsi que les principaux aspects narratifs du scénario sont présentés aux étudiants afin d’opter pour le bon vocabulaire lorsque vient le temps de parler des éléments scénariques. Par exemple, l’alternance des dialogues et des passages narrato-descriptifs, l’absence de formes narratives (le narrateur se glisse très rarement dans la peau du personnages[5] peuvent causer des problèmes dans la compréhension et dans l’interprétation du scénario. Finalement, un bref exposé sur les plans au cinéma (gros plan, plan éloigné, plan d’épaules, plan rapproché, plan-séquence, etc.) terminera la séance. Comme devoir, les étudiants devront remplir un questionnaire disponible sur le web et développé par l’enseignant portant sur les différents plans au cinéma (avec des exemples tirés de La vie est belle de Roberto Benigni, film réalisé en 1997). Cette œuvre cinématographique rejoint le même contexte sociohistorique que Au revoir les enfants. De plus, à la fin de cette séance, les étudiants devront commencer la lecture de l’œuvre et auront une semaine pour la lire entièrement.


PENDANT LA LECTURE

 

Activité 4 : Grille à compléter sur les personnages

 

Au fil de leur lecture, les étudiants sont invités à remplir une grille fournie par l’enseignant sur les personnages présentés dans différentes scènes de l’œuvre (il s’agit ici d’une simple forme proposée; les étudiants peuvent choisir de le faire sous forme de schéma ou de carte conceptuelle s’ils le désirent). Cette grille est divisée par regroupement de scènes (le scénario comporte 53 scènes au total). Pour chaque regroupement, l’étudiant devra inscrire les personnages apparaissant dans la scène, leur attribuer une valeur qu’ils représentent (par exemple, un groupe d’étudiants bagarreurs peuvent avoir la même valeur) et un sentiment qu’ils entretiennent envers un autre personnage (présent dans le même regroupement de scènes). Une case (ou le bas du schéma, selon le choix de l’étudiant) est réservée à des fins d’annotation, d’interprétation du texte. Les éudiants pourront ainsi ressentir les émotions que le texte éveille en eux et noter leurs réactions dans la colonne appropriée, car «dans une approche subjective de l’enseignement-apprentissage de la lecture-spectature, la source de compréhension du texte et du film réside plus dans le lecteur-spectateur que dans les œuvres elles-mêmes[6] ». 

 

Activité 5 : Cercle d’interprétation sur Au revoir les enfants (30 minutes)

 

Cette activité permet aux étudiants de mieux voir l’évolution des rapports et des relations entre les personnages en discutant entre collègues, et ce, pendant leur lecture. Les discussions porteront sur les différents regroupements de scènes, sur les personnages, les valeurs que les étudiants leur ont attribuées, les sentiments qui animent les protagonistes, etc. Les apprenants seront placés en équipe de cinq et discuteront de leur grille d’observation remplie jusqu’à maintenant. Certains étudiants peuvent comprendre davantage l’intrigue et l’évolution des rapports des personnages en partageant et en complétant leurs observations que s’ils étaient restés seuls. De plus, ils auront

l’occasion de développer [leur] pensée en confrontant, lors des cercles littéraires qui se déroulent sans la présence de l’enseignant pour laisser libre cours aux échanges et insister sur le fait que l’enseignant n’est pas le détenteur de la réponse unique, [leurs] interprétations avec celles de [leurs] pairs[7].

Les étudiants peuvent également discuter de ce qu’ils ont préféré du scénario et de ce qu’ils ont aimé le moins. Pendant les échanges, l’enseignant se promène en classe et supervise l’activité (il peut lancer des questions s’il y a lieu). La grille d’observation ainsi que la discussion sont des outils considérables qui seront utilisés dans l’atelier sur la lecture expressive ainsi que dans l’exercice de création.


Activité 6 : Atelier sur la lecture expressive ou comment comprendre l’intériorité des personnages (1h 20 minutes)

 

Après avoir discuté de leur observation, les étudiants sont amenés à réaliser un atelier sur la lecture expressive. En équipe de quatre à cinq personnes, ils auront à jouer et à lire avec intonation une scène qu’ils auront appréciée du scénario jusqu’à maintenant (la lecture peut être complétée ou non). Après consultation, les membres de l’équipe devront choisir la même scène. Chaque membre jouera à tour de rôle le personnage principal de la scène (si un deuxième acteur est nécessaire dans la mise en scène, les étudiants devront également le jouer à tous de rôle) et il sera observé par les membres restants de l’équipe.

Cette activité, qui est intimement liée au théâtre, est capitale dans cette séquence, car « le jeu favorise l’accès au sens du texte, à une meilleure compréhension de celui-ci, un gain dans l’aisance gestuelle et verbale, mais aussi le plaisir d’un investissement émotionnel dans un personnage, la perception du pouvoir de la parole[8] ». Les étudiants auront la possibilité de se mettre dans la peau des personnages choisis pour mieux comprendre les motivations de ces derniers, leurs actions, leurs paroles, leurs sentiments ou émotions envers un autre personnage ou une situation, etc.

Cet atelier de lecture expressive travaillera sur l’implicite (l’utilisation des non-dits) dans le cinéma, mais également sur les traces de l’émetteur et de son expressivité dans le discours par la biais des modalisateurs[9] (par exemple, le point d’exclamation dans telle réplique doit se refléter dans le visage du personnage, l’adverbe « certainement » doit être dit sans hésitation de la part du locuteur, etc.). Cette analyse, cette interprétation du texte sera nécessaire pour l’activité de création qui aura lieu la séance suivante.

À la fin du cours, l’enseignant abordera le contenu de l’activité de création sommative qui porte sur le théâtre-image. Il expliquera la consigne de l’évaluation, les directives et le contexte de réalisation (une période de deux heures en classe sera libérée pour exécuter ce travail) et la préparation que les étudiants devront effectuer comme devoir. En effet, ils devront choisir leur équipe (de huit à dix personnes), deux scènes spécifiques (une au début et une autre à la fin du scénario) contenant les mêmes personnages afin de mettre en lumière l’évolution des relations entre eux.


APRÈS LA LECTURE

Activité 7 : Création d’un théâtre-image (1h 40 minutes)

L’activité sur le théâtre-image permettra, une fois de plus, aux étudiants d’être engagés au cœur de leur compréhension du scénario et de la problématique soulevée en début de séquence qu’est l’évolution des rapports entre les personnages. En équipe de huit à dix membres, les apprenants devront « créer, en sculptant et agençant les acteurs, des tableaux vivants, figés en un arrêt sur image pour transmettre au public l’interprétation d’un passage, d’un personnage[10] », et ce, en se mettant dans la peau du réalisateur ou du directeur photo de Au revoir les enfants. Ces tableaux vivants (un au début et un autre à la fin du scénario) seront pris en photo et utilisés lors de la rédaction de leur commentaire comparatif à la toute fin de cette séquence.

Ce théâtre-image démontrera l’appropriation des éléments discutés au début de la séquence par les étudiants (par exemple, l’utilisation des plans pour faire passer une émotion, un message au spectateur) ainsi que leur travail de réflexion sur la dynamique des échanges, des regards, des gestes et des émotions que un ou des personnages vivent dans les scènes choisies. Tout devra être pensé : les décors, les costumes, les accessoires, etc. pour respecter le contexte de l’intrigue ainsi que l’ambiance sombre et macabre des années 1940. L’activité se déroulera à l’auditorium du cégep (et non en classe) et les étudiants auront accès aux costumes et aux décors disponibles pour les représentations théâtrales du collège. L’enseignant se promènera dans l’auditorium et interrogera les étudiants sur leur processus créatif.

La deuxième étape de ce travail consiste en la rédaction d’un commentaire écrit (de 150 à 200 mots par photo) en équipe justifiant leurs choix de scènes ainsi que les éléments exploités qui ont inspiré les tableaux vivants (pourquoi tel personnage semble contrarié en présence de ce personnage en particulier, pourquoi un personnage x se trouve en avant-plan de la photo, etc.). Cette dernière partie se fera en dehors des heures de cours, à la maison. Un album compilé par l’enseignant et comprenant les différentes photos prises par les étudiants sera remis sous forme électronique à l’ensemble de la classe afin qu’ils comparent leur interprétation des scènes avec celle des autres. Une discussion portera sur la comparaison des photos et des choix du réalisateur à la suite du visionnement du film.


Activité 8 : Visionnement du film (1h 40 minutes)

Le film, d’une durée approximative de 100 minutes, sera visionné à l’intérieur d’une seule et même séance. Les étudiants sont invités à être bien attentifs au film entier, mais à apporter une attention toute particulière aux deux scènes qu’ils ont choisies pour leur activité de création portant sur le théâtre-image. En effet, ils devront rédiger un commentaire comparatif sur leur propre appropriation du texte et sur l’interprétation du réalisateur du film Louis Malle. Pour ce faire, les étudiants pourront prendre des notes personnelles, que ce soit sous forme de schéma ou autres. L’enseignant notera les points suivants au tableau afin que les étudiants entament un processus d’analyse et de réflexion sur les scènes qu’ils ont choisies :

  • Décors, accessoires, costumes des acteurs
  • Choix des acteurs
  • Plans utilisés
  • Transformations du texte (s’il y a lieu)
  • Jeu des acteurs
  • Musique


Activité 9 : Table ronde sur les plans et les éléments de mise en scène (1h 20 minutes)

La séance suivant le visionnement du film, les étudiants doivent participer à une table ronde sur les plans et les éléments de mise en scène utilisés dans leur création ainsi que dans le film en discutant en petits groupes. Les équipes ne peuvent pas être les mêmes que celles de l’activité de création. Chaque groupe devra réunir un membre issu d’une équipe différente afin de discuter des choix de son équipe de création, de comparer son théâtre-image et le film (par exemple, les huit membres de l’équipe qui ont travaillé sur les scènes 4 et 40 se sépareront et chacun devra se réunir avec 7 autres étudiants, chacun venant d’une autre équipe). La liste des points à discuter est la même que celle présentée avant le visionnement du film :

  • Décors, accessoires, costumes des acteurs
  • Choix des acteurs
  • Plans utilisés
  • Transformations du texte (s’il y a lieu)
  • Jeu des acteurs (émotions, regards, intonation)
  • Musique (quel(s) effet(s) sur le spectateur?)

Cette activité servira à nourrir les propos des étudiants dans l’écriture de leur commentaire comparatif.


Activité 10 : Début de la rédaction du commentaire comparatif en classe (30 minutes)

Cette séquence didactique se termine avec, comme activité finale, une évaluation sommative et individuelle. Les étudiants pourront commencer à rédiger leur commentaire comparatif pendant cette période et le continuer lors de la prochaine séance de cours, et ce, sous la supervision de l’enseignant. Leur commentaire comparatif devra démontrer leur compréhension et leur interprétation personnelles de l’évolution des rapports entre les personnages. Une question dirigée sera proposée par l’enseignant, car le reste de la séquence leur a permis d’opérer dans une liberté de choix et de goûts personnels (par exemple, la lecture expressive, le théâtre-image). La question est la suivante :

 

À la suite des discussions tenues en classe, comparez votre théâtre-image avec votre interprétation personnelle du scénario ainsi qu’avec le film  et les choix du réalisateur Louis Malle. Basez votre commentaire de 400 mots sur les éléments théoriques vus en classe (théorie du scénario, plans  au cinéma, grille d’observation) ainsi que sur les activités qui vous ont été proposées en lien avec l’œuvre étudiée (cercle d’interprétation, lecture expressive, table ronde). Vous avez deux périodes et demie (2h30) pour rédiger votre commentaire. N’oubliez pas de réviser votre copie et de corriger vos fautes (0,1 par faute jusqu’à concurrence de trente fautes). Sur ce, bonne rédaction!

 



[1] B. SAVALLE. « César 1988 », Le Cinéma français, [En ligne], http://www.cinema-francais.fr/cesar/cesar_1988.htm (Page consultée le 24 avril 2013).

[2] J. BONNEVILLE. « Descriptions de cours obligatoires de littérature au collégial », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n° 126, 2007, [En ligne], http://www.erudit.org/culture/lq1076302/lq1197870/36714ac.html?vue=resume (Page consultée le 24 avril 2013).

[3] Ulric AYLWIN soutient que, lors d’un exposé magistral, l’attention des étudiants diminue grandement après quinze minutes d’écoute (dans La différence qui fait la différence… ou comment réussir dans l’enseignement, Montréal, AQPC, 1996, p. 41).

[4] L’article « La Shoah : l’avant-dernière Apocalypse » de Hans-Jürgen Greif porte un regard différent sur l’utilité de la mémoire par le biais d’exemples tirés du documentaire Shoah de Claude Lanzmann. « La Shoah : l’avant-dernière Apocalypse », Québec français, n° 165, 2012, [En ligne],  http://www.erudit.org/culture/qf1076656/qf089/66452ac.html?vue=resume&mode=restriction (Page consultée le 23 avril 2013).

[5] J. VAN NIPELSEER. « La littérature de scénario », Cinémas : revue d’études cinématographiques, vol. 2, n° 1, 1991, [En ligne], http://www.erudit.org/revue/cine/1991/v2/n1/1001053ar.html?vue=resume (Page consultée le 24 avril 2013).

[6] N. LACELLE et C. VALLÉE. « Lire le roman et visionner son adaptation filmique : un parcours subjectif », Québec français, n° 158, 2010, [En ligne], http://www.erudit.org/culture/qf1076656/qf1504327/61556ac.html?vue=resume (Page consultée le 23 avril 2013).

[7] É. LEITH. « Le journal dialogué et le cercle de lecture : des outils au service d’une lecture interactive », Québec français, n° 160, 2011, [En ligne], http://www.erudit.org/culture/qf1076656/qf1504630/61623ac.html?vue=resume&mode=restriction (Page consultée le 23 avril 2013).

[8] I. DE PERETTI et coll. « Bourreaux et victimes : des élèves de lycées professionnel, polyvalent et général face à l’univers tragique », Actes du colloque international « Littérature et pratiques d’enseignement-apprentissage : difficultés et résistances », [En ligne], http://www.fse.ulaval.ca/litactcolaix/auteurs/symposium1.pdf (Page consultée le 23 avril 2013).

[9] Les modalisateurs (ou marques de modalisation) se divisent en plusieurs catégories : les adverbes d’appréciation ou d’opinion, les marques de subjectivité (interjections, phrases exclamatives, lexique subjectif ou mélioratif), les marques socioculturelles (archaïsmes, régionalismes, niveaux de langue, etc.). C. PILOTE. Guide littéraire : analyse, plan, rédaction, procédés, genres, courants, Montréal, Beauchemin/Chenelière Éducation Inc, 2012, p.42-44.

[10] I. DE PERRETTI, op. cit.


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