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Les meilleurs contes fantastiques québécois du XIXe siècle

Fiche descriptive
Séquence didactique
Annexes
Les meilleurs contes fantastiques québécois du XIXe siècle
BOIVIN, Aurélien
Par Delphine Quenneville


Nationalité de l'auteur : Québécoise
Genre : Contes et récits
Courant :
Siècle :
Groupe d'âge visé : Deuxième cycle secondaire
Auteur de la séquence : Delphine Quenneville
Date du dépôt : Hiver 2012


 

Cette séquence didactique a été élaborée pour des élèves de troisième secondaire, mais pourrait tout aussi bien être employée avec des élèves de quatrième ou de cinquième secondaire. Elle est toutefois plus pertinente pour les élèves de troisième secondaire pour la raison qu’elle vise à amener les élèves à ouvrir leur esprit aux fondements de la culture québécoise, qui sera par la suite davantage étudiée dans le programme d’Univers social en quatrième secondaire. Ainsi, non seulement cette séquence amène-t-elle les élèves à acquérir une meilleure compréhension d’une œuvre littéraire, mais elle prépare également le terrain pour permettre des apprentissages connexes plus approfondis. Les élèves de quatrième et de cinquième secondaire pourront donc profiter de cette séquence d’une autre manière, c’est-à-dire en mettant au service de leur lecture leurs connaissances déjà acquises sur le fonctionnement de la société québécoise au XIXe siècle; les connaissances acquises au cours de la séquence permettront donc d’approfondir leur compréhension des mœurs, us et coutumes du peuple québécois d’antan.

 

Le recueil choisi rassemble 27 contes traditionnels québécois rapportés par les meilleurs conteurs du XIXe siècle. L’avantage d’avoir une large sélection de contes est qu’il devient possible, d’une part, de repérer et de confirmer des régularités à l’intérieur de ceux-ci et d’autre part, de faire nous-mêmes (enseignants) une sélection de textes à étudier avec les élèves. Par ailleurs, les contes de ce recueil sont rapportés de telle façon que le conteur expose toujours le contexte lors duquel le conte est raconté, ce qui permet aux élèves d’observer plus encore de traditions québécoises que celles rapportées à l’intérieur même des contes, ce qui aidera à l’atteinte des objectifs d’apprentissage quant à la culture québécoise. Par ailleurs, le présent recueil présente une brève biographie des conteurs cités, apportant encore des informations supplémentaires sur les modes de vie et de pensée de l’époque.

 

Les contes québécois, tels qu’ils sont rapportés dans le recueil d’Aurélien Boivin, présentent des particularités de langage : on peut y repérer des dérivés tout à fait québécois de mots français, des déformations de mots anglais, des expressions ou des mots utilisés différemment autrefois qu’aujourd’hui. Il est donc nécessaire d’amener les élèves à se pencher sur la question du langage pour leur permettre une meilleure compréhension des textes, mais aussi pour les amener à comprendre l’évolution de la langue au Québec.

 

Cette séquence didactique vise donc à résoudre les problèmes de lectures suivants :

- amener les élèves à comprendre les fondements de la culture québécoise : les causes et conséquences des peurs, des désirs, des croyances des Québécois;

- comprendre les effets produits par l’oralité par rapport à ceux produits par l’écriture.

 

À cette fin, les élèves seront amenés à confronter les valeurs actuelles de la société québécoise, voire les leurs, avec celles observées dans les textes, à étudier les personnages et leurs mœurs afin de comprendre les interactions sociales typiques de l’époque, ainsi qu’à travailler l’oralité au service de l’atteinte d’un objectif.

 

 

Activité 1 : Vocabulaire

Cette activité vise à amener les élèves à bien comprendre le langage employé dans les contes étudiés. Comme beaucoup de mots ou d’emplois particuliers de certains mots sont absents des dictionnaires actuels en raison de leur désuétude ou du fait qu’ils sont catégorisés comme des régionalismes, les élèves devront déduire la signification de ces mots autrement qu’en les cherchant dans un dictionnaire. Cette activité est donc introduite au début de la séquence, mais se poursuit tout au long de la lecture du recueil. Dans un premier temps, l’enseignant distribue aux élèves un document présentant un tableau où les colonnes sont seulement identifiées

 

Mot

Champ lexical entourant le mot

Mots de la même famille

Mots ayant une sonorité semblable

Définition proposée

1.

 

 

 

 

2.

 

 

 

 

Ici, nous proposons d’étudier le champ lexical entourant le mot inconnu afin de se faire une idée générale de sa signification; de chercher des mots connus de la même famille pour cerner plus précisément le sens du mot, ainsi que des mots ayant une sonorité semblable, puisque certains mots sont transcrits selon leur prononciation affectée d’un accent particulier, ce qui peut entraver la compréhension si on ne s’efforce pas d’établir ce lien (par exemple, « seurment » au lieu de « surement »).

 

Les élèves doivent ensuite tenter de valider, dans les contes qui suivent, les définitions qu’ils ont proposées au fil de leur lecture. À la lumière de l’utilisation de ces mots dans des contextes semblables ou plus explicites, les élèves pourront confirmer ou infirmer leurs hypothèses. En cas de confirmation, leur compréhension des textes sera instantanément améliorée, même de manière rétroactive; en cas d’infirmation, ils devront tenter une nouvelle définition en observant à nouveau les catégories indiquées dans le tableau, en comparant les contextes, etc.

 

Activité 2 : La langue orale

Les élèves écoutent le conte Le fantôme dans la tempête, raconté par Fred Pellerin. L’enseignant leur demande, avant de passer l’extrait audio, de porter attention à l’utilisation que le conteur fait de la langue et leur demande de répondre individuellement par écrit à quatre questions, sur lesquelles l’enseignant reviendra avec le groupe.

 

Enseignant : Que remarquez-vous sur la manière de parler de Fred Pellerin?

Réponse escomptée : Il parle avec un accent particulier et joue sur la prononciation pour créer des jeux de mots.

Enseignant : Quel effet cette utilisation de la langue produit-elle? Réponse escomptée : L’insistance sur l’accent et la création de jeux de mots provoque un effet humoristique qui fait rire malgré que l’histoire ait un aspect tragique.

Enseignant : Dans son conte, Fred Pellerin utilise le mot « joual ». La signification de ce mot dans ce contexte est-elle la même que celle que vous connaissez?

Réponse escomptée : Non.

Enseignant : Quelle est la signification de ce mot dans ce contexte-ci et comment avez-vous trouvé cette signification?

Réponse escomptée : Le mot « joual » signifie « cheval ». On le sait à cause du contexte et de la prononciation semblable lorsqu’on dit le mot « cheval » rapidement.

 

L’enseignant demande ensuite aux élèves de retrouver, dans les textes du recueil, quelques exemples d’utilisation de l’oralité à des fins humoristiques, ainsi que quelques exemples de mots ou d’expressions utilisés différemment dans les contes par rapport à aujourd’hui (et d’en expliquer la signification dans les contes). À la fin de cette activité, les élèves comprendront l’influence du registre de langue sur les contes et leur compréhension des textes sera améliorée.

 

Activité 3 : Les mœurs

À la lecture des textes du recueil, les élèves ont pu constater des récurrences dans les activités quotidiennes, les mœurs et les coutumes rapportées dans les contes. Après la lecture du recueil, ils sont donc en mesure d’établir les ressemblances et les différences entre la vie des Québécois aujourd’hui et au XIXe siècle. Afin qu’ils en prennent bien conscience et pour les pousser à développer leur sens de la déduction, l’enseignant présente aux élèves une activité d’écriture qui s’articule en trois étapes.

 

1 – L’enseignant distribue des sujets d’écriture : des mises en situation concernant des mœurs ou des coutumes du XIXe siècle. La préparation du réveillon de Noël, par exemple.

2 – L’enseignant donne ensuite une consigne claire : Décrivez d’abord, dans un texte d’environ 350 mots, la situation qui vous a été donnée comme elle serait vécue aujourd’hui; décrivez ensuite, toujours en 350 mots, cette même situation comme elle aurait été vécue au XIXe siècle. Pour le deuxième texte, comme vos situations d’écriture n’ont pas toutes fait l’objet d’une description précise dans le recueil, vous pouvez vous inspirer de ce que vous avez lu, mais vous devez aussi déduire, à la lumière de vos lectures, comment se passeraient ces situations. Dans chacun des textes, on doit retrouver toutes les personnes susceptibles d’intervenir dans la situation décrite.

3 – Les élèves se regroupent finalement en équipes de trois pour échanger sur leurs productions et valider leurs informations et déductions.

 

Dans cette activité, les élèves sont amenés à transformer des connaissances passives en connaissances actives en établissant des liens entre des éléments lus dans les différents textes et des éléments puisés dans leur imagination : ils doivent d’abord prendre conscience de leur connaissance de ces éléments pour ensuite être capables de les intégrer dans leurs productions, et ce, de manière logique et réaliste.

 

Activité 4 : Les rôles sociaux

Les contes du Québec regorgent de figures de personnages caractéristiques (le curé, le père de famille, les gars des chantiers, etc.) et d’exemples des rôles sociaux de ceux-ci. Or, comme les interactions entre les acteurs des différentes strates sociales sont cruciales pour la compréhension de l’évolution de la société québécoise, il est essentiel d’amener les élèves à bien les comprendre. Ainsi, afin que les élèves prennent bien conscience du rôle de chaque figure de personnage, ils réalisent une courte activité d’écriture, qui suit cette consigne : Vous devez vous mettre dans la peau d’un personnage (par exemple le curé ou le père de famille) qui revient souvent dans les contes du recueil et établir votre horaire d’une journée, de votre lever à votre coucher : quelles sont vos tâches, vos responsabilités, vos priorités, vos activités? Qui risquez-vous de rencontrer et comment appréhendez-vous cette rencontre?

 

En comparant par la suite leurs productions, les élèves peuvent améliorer leur compréhension des habitudes de la vie quotidienne des Québécois au XIXe siècle et développer leur jugement : ils devront évaluer le réalisme des productions des autres. À la fin de cette activité, les élèves devraient donc mieux comprendre la dynamique sociale du peuple québécois du XIXe siècle, ce qui leur permettra d’approfondir leur compréhension des agissements des personnages des contes traditionnels.

 

Activité 5 : Les valeurs

Une autre difficulté que présente la lecture des contes fantastiques du Québec est que ces histoires prennent racine dans les valeurs de l’époque et évoluent en fonction de celles-ci, mais ces valeurs n’ont pas la même importance aujourd’hui. Pour que les élèves voient la logique et les objectifs derrière ce genre d’histoires, on doit absolument les sensibiliser à ces valeurs. Le but n’est aucunement de faire adopter des valeurs traditionnelles aux élèves, mais bien de les amener à une ouverture d’esprit suffisante pour comprendre les enjeux moraux en question dans les contes, les conséquences d’un écart ou du respect des valeurs les plus importantes de l’époque et, par le fait même, les objectifs des contes traditionnels.

 

Pour ce faire, l’enseignant anime une discussion pour amener les élèves à voir que ces contes présentent des schémas narratifs semblables suivant deux modèles : au dénouement, c’est soit le Bien qui l’emporte, soit le Mal. Les élèves doivent donc comparer les différents contes du recueil et les classer selon leur dénouement : ceux où c’est le Bien qui triomphe et ceux où c’est le Mal. Ensuite, les élèves doivent analyser les causes de ces deux modèles de finalités : en analysant les faits et gestes des personnages, ils constateront que les situations où le Mal triomphe sont celles où un humain a agi à l’encontre des valeurs morales de l’époque. Ce constat amènera les élèves non seulement à voir la logique derrière les contes et à voir concrètement certaines des valeurs de l’époque, mais les poussera en plus à réfléchir sur l’importance attribuée à certaines valeurs par rapport à d’autres : ils constateront que certains dénouements sont plus tragiques que d’autres et que cela est en fonction de la gravité des actes des personnages. L’enseignant demande aux élèves de créer une carte conceptuelle indiquant les liens entre les finalités possibles des contes, les actes posés par les personnages et les conséquences directes de ceux-ci, afin que les élèves intègrent bien ces liens.

 

Activité 6 : L’influence des circonstances et de la manière de conter

Au cours de l’activité précédente, les élèves ont compris qu’un but important des contes est d’amener le peuple à obéir et à respecter les valeurs qu’impose la religion catholique. Or, au XIXe siècle, on conte aussi dans le but de se désennuyer, surtout sur les chantiers. Pour que les élèves en viennent à ce dernier constat, l’enseignant leur demande de réfléchir au conte de Fred Pellerin écouté à l’activité 2.

 

Enseignant : On vient de conclure que les contes servent à faire peur aux gens pour les obliger à respecter certaines valeurs; mais le conte de Fred Pellerin fait-il peur?

Réponse escomptée : Non, il est drôle.

Enseignant : Alors pourquoi Fred Pellerin le conte-t-il?

Réponse escomptée : Pour divertir.

 

L’enseignant explique donc qu’en effet, les contes servaient aussi à se divertir, tout en conservant une valeur moralisatrice. L’enseignant explique aussi que les contes se transmettaient souvent au cours de soirées familiales ou encore sur les chantiers, par les plus vieux aux plus jeunes. L’enseignant raconte alors À la Sainte-Catherine deux fois : la première, en insistant sur les éléments tragiques et sur ceux menant à la perte de Colette, en conservant un ton lourd et un débit assez lent; la deuxième, en insistant sur des éléments drôles et en adoptant un ton léger et un débit plus rapide et en jouant beaucoup les personnages. Suit une discussion guidée par l’enseignant au cours de laquelle les élèves constatent et consignent dans un tableau les différences ayant permis de faire sortir l’objectif moralisateur dans la première version, puis l’intention de divertir dans la deuxième version.

 

Éléments permettant de mettre en valeur…

Le but de moralisation

Le but de divertissement

 

 

 

Afin que les élèves comprennent bien quels éléments, dans un conte, permettent d’en modifier l’objectif lorsqu’ils sont accentués, ils doivent mettre en scène et présenter devant la classe, en équipes de trois, un conte de leur choix, extrait du recueil. C’est l’enseignant qui déterminera quelles équipes poursuivront un but de divertissement et lesquelles en poursuivront un moralisateur. Le travail d’équipe permet ici la confrontation des idées, stimule la créativité et permet aux élèves timides d’être plus détendus lors de la présentation du conte devant la classe. L’intervention de l’enseignant quant au but permet, d’une part, d’empêcher que les élèves choisissent la voie facile  et qu’on n’assiste pas, d’autre part, à la présentation d’une seule manière de conter, car varier les manières d’oraliser un texte en permet une meilleure appropriation.

 

Activité 7 : Réinvestissement

Le but de cette activité est de permettre aux élèves de consolider leurs nouvelles connaissances et, plus important encore, d’établir de bons liens entre les différents concepts étudiés.

 

Dans un premier temps, l’enseignant remet les paroles de la chanson Martin de la Chasse-Galerie chantée par Michel Rivard et la leur fait écouter, en leur demandant de porter attention au dénouement de l’histoire. Les élèves remarquent alors que la fin n’est pas la même dans la chanson que dans le recueil, car les personnages n’agissent pas de la même façon : dans la chanson, Martin transgresse les règles, donc les bucherons paient de leur âme, alors que dans le recueil, une règle moins grave est transgressée, donc les bucherons sont punis par la peur seulement, mais restent vivants. Les élèves comprennent donc qu’on peut modifier un conte en fonction des valeurs qu’on vise à transmettre, mais que si la fin est changée, les péripéties devront être modifiées en conséquence, et vice-versa.

 

Ensuite, l’enseignant explique l’activité.

1- Vous devez choisir, dans le recueil d’Aurélien Boivin, un conte dont vous modifierez le dénouement et la fin. Vous devez indiquer précisément l’endroit du conte où vous commencez à apporter des modifications.

2- Le nouveau dénouement et la nouvelle fin devront être cohérents avec le début du conte, par rapport à la psychologie des personnages, leurs habitudes de vie, leurs valeurs, leurs rôles sociaux.

3- Votre texte devra aussi être cohérent sur le plan du registre de langue. Vous devrez donc adapter votre écriture en intégrant au moins trois formulations (mots ou expressions) étudiées lors de la lecture aux activités 1 et 2.

4- Votre texte sera d’une longueur de 500 mots.

 

 

Conclusion

Cette séquence didactique permet aux élèves de troisième secondaire d’accéder à des textes complexes en raison de la langue et des référents culturels multiples et plus ou moins connus d’eux. Les textes du recueil Les meilleurs contes fantastiques québécois du XIXe siècle permettent d’étudier plusieurs facettes du peuple québécois de cette époque. Les activités de la séquence sont organisées de façon à ce que les élèves étudient d’abord des éléments avec lesquels ils sont plus familiers et qui sont facilement repérables dans les textes (les mœurs), puis des éléments de plus en plus complexes pour les élèves étant donné le décalage culturel entre les époques (les rôles sociaux, les valeurs, l’influence l’oralité), et ce, en utilisant toujours les connaissances acquises à l’activité précédente. Quant au travail sur la langue, il est fait pendant la lecture, soit avant les activités sur les contenus culturels, afin de faire tomber le plus de barrières possible au début de la séquence. Finalement, cette séquence permet aux élèves de développer leur capacité d’analyse et de mieux comprendre les fondements de la culture québécoise.

 

 

Bibliographie

BOIVIN, Aurélien, Les meilleurs contes fantastiques québécois du XIXe siècle, Éditions Fides, Québec, 2008, 361 p.

DUFAYS, Jean-Louis, GEMENNE, Louis, LEDUR, Dominique, Pour une lecture littéraire, Éditions De Boeck, (coll. Savoirs en pratique), Bruxelles, 2005, p. 203.

PELLERIN, Fred, Dans mon village, il y a belle Lurette, Planète rebelle, Montréal, 2001, 140 p. (Disque compact accompagnant le livre)

Martin de la Chasse Galerie, chanson interprétée par Michel RIVARD. http://www.youtube.com/watch?v=GrPj4fir69M&feature=related

Programme de formation de l’école québécoise, histoire et éducation à la citoyenneté, p. 39 http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/programmeFormation/

secondaire2/medias/7b-pfeq_histoire.pdf

 

 

Contes du recueil

 

Disponibles sur touslescontes.com (inscription gratuite) :

- AUBERT DE GASPÉ, Philippe-Ignace-François, L’étranger

- BEAUGRAND, Honoré, La chasse-galerie

- BEAUGRAND, Honoré, La bête à grand’queue

- BEAUGRAND, Honoré, Le fantôme de l’avare

- DICK, Wenceslas-Eugène, Une histoire de loup-garou

- FRÉCHETTE, Louis, Le revenant de Gentilly

- FRÉCHETTE, Louis, Le loup-garou

- LEMAY, Pamphile, Le loup-garou

- STEVENS, Paul, Les trois diables

Disponibles sur http://beq.ebooksgratuits.com/pdf/contes.htm (livres à télécharger gratuitement) :

- AUBERT DE GASPÉ, Philippe-Joseph, La légende du père Romain Chouinard

- DICK, Wenceslas-Eugène, Un épisode de résurrectionnistes

- DUCHARME, Charles-Marie, À la Sainte-Catherine

- LABERGE, Charles, Conte populaire

- LÉVESQUE, Guillaume, La croix du Grand Calumet

- OLIVIER, Louis-Auguste, Le débiteur fidèle

- POITRAS, Alphonse, Histoire de mon oncle

 

Disponibles sur books.google.ca (en entrant le titre du conte dans l’onglet de recherche du moteur Google):

- AUBERT DE GASPÉ, Philippe-Joseph, Une nuit avec les sorciers

- DE MONTIGNY, Louvigny, Le rigodon du diable

- FRÉCHETTE, Louis, Coq Pomerleau

- FRÉCHETTE, Louis, La maison hantée (en entrant « la maison hantée fréchette »)

- FRÉCHETTE, Louis, Les marionnettes (en entrant « les marionnettes fréchette »)

- MORISSETTE, Ferdinand, Le diable au bal

- TACHÉ, Joseph-Charles, Ikès le jongleur

- TACHÉ, Joseph-Charles, Le Noyeux

 

Indisponibles gratuitement sur Internet :

- FAUCHER DE SAINTE-MAURICE, Narcisse-Henri-Édouard, Le feu des Roussi

- FRÉCHETTE, Louis, Les marionnettes

- LEMAY, Pamphile, Fantôme

- LEMAY, Pamphile, Sang et or

 


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