Se connecter
 Retour à la page précédente
Alice au pays des merveilles

Fiche descriptive
Séquence didactique
Annexes
Alice au pays des merveilles
CARROLL, Lewis
Par Julie Granger


Nationalité de l'auteur : Anglaise
Genre : Contes et récits
Courant : Autres
Siècle : 19e siècle
Groupe d'âge visé : Deuxième cycle secondaire
Auteur de la séquence : Julie Granger
Date du dépôt : Hiver 2013


 

Introduction

L’œuvre Les aventures d’Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll est souvent perçue comme étant une œuvre destinée aux enfants. On pourrait être porté à croire que le texte n’est pas assez riche pour permettre une analyse littéraire complexe et signifiante pour des élèves du secondaire. Pourtant, l’univers de ce conte plonge le lecteur dans des thèmes portant à la réflexion, parfois même philosophiques. Il est pertinent de travailler une telle œuvre avec des élèves de troisième secondaire (MELS, 2011 : 28), puisque ceux-ci ont une certaine capacité d’analyse nécessaire à la lecture littéraire.

Le travail sur les problèmes de lecture suivants permettra d’apprendre aux élèves à faire une lecture littéraire du texte à l’aide d’activités de compréhension et d’interprétation effectuées avant, pendant et après la lecture (Falardeau, 2004). D’abord, l’étude de la temporalité vise à faire comprendre aux élèves que le pays des merveilles est en fait l’hôte d’un rêve. Ensuite, une étude de la taille d’Alice devrait permettre aux élèves d’interpréter le symbole de l’évolution psychologique de l’héroïne. Finalement, le travail sur la langue, notamment sur les jeux de langage, devrait amener les élèves à saisir l’humour présent dans l’œuvre en ayant préalablement décelé l’absurde dans lequel baigne l’univers du pays des merveilles. L’étude de ces principaux thèmes permettra de les mettre en relation avec le sens général de l’œuvre (Falardeau, 2004).

L’analyse littéraire proposée dans cette séquence est une parmi tant d’autres. Il est nécessaire de souligner qu’il existe une multitude d’interprétations possibles, et ce, pour chacun des problèmes de lecture à l’étude. Il est du devoir de l’enseignant de tenir compte de ces multiples interprétations et de diriger les élèves dans leur apprentissage. L’important est de faire verbaliser les élèves quant à leurs représentations afin de leur permettre de développer leur capacité de compréhension et d’analyse.

Les activités de cette séquence suivent l’ordre des chapitres de l’œuvre. La lecture de l’œuvre faite par les élèves est donc ponctuée des activités de la séquence afin de leur permettre de mieux comprendre le texte dans un premier temps et, ensuite, de l’interpréter de manière éclairée.

 

Avant la lecture

Activité 1 : Les contes classiques

But : Identifier les principales caractéristiques du conte afin que les élèves puissent plonger dans cet univers. Permettre aux élèves de « se construire des repères culturels en établissant des liens entre des œuvres littéraires » (MELS, 2006 : 99-102).

L’enseignant lit à voix haute le conte Le petit chaperon rouge (http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre2363.html#page_1). En plénière, l’enseignant demande aux élèves de relever les caractéristiques du conte qu’ils remarquent. Toujours en les questionnant, l’enseignant doit amener les élèves à identifier les personnages stéréotypés (le bon et le mauvais) ainsi que la morale retrouvée à la fin du conte.

L’enseignant peut demander aux élèves s’ils connaissent d’autres contes qui correspondent aux caractéristiques identifiées préalablement. Les élèves sont ainsi amenés à se questionner sur leurs représentations du conte. L’enseignant doit diriger la discussion afin d’amener les élèves à voir l’importance de l’imaginaire pendant l’enfance, notamment au moment de lire des histoires.

Activité 2 : Étude du paratexte

But : Donner aux élèves des pistes afin de planifier leur lecture. Ils auront ainsi une intention qui guidera leur lecture (Falardeau, 2004).

L’étude de certains passages de la préface permettra d’introduire les problèmes de lecture présents dans l’œuvre. L’enseignant lit la section « Un nouveau type de conte de fées » (p.26) de la préface. Il doit s’arrêter sur les passages qui traitent du thème de l’enfance, par exemple : « Pour elle [Alice] comme pour le lecteur, le “sens” du conte est autant une découverte de soi – de l’Enfance – que de la société adulte » (p.30). Plus loin, l’utilisation particulière du langage faite par l’auteur est abordée (p. 31). Il est intéressant de s’arrêter sur cet extrait de la préface et de souligner aux élèves que les jeux de langage occupent une place importante de l’œuvre.

 

Pendant la lecture

Les élèves doivent lire les chapitres 1 à 6 avant l’activité 3.

Activité 3 : Résumé de chaque chapitre

But : Permettre aux élèves de bien discerner les éléments présents dans chaque chapitre.

L’enseignant forme six équipes et attribue un chapitre à chacune. Les élèves doivent identifier les éléments importants du chapitre à l’étude (les personnages, les lieux et les principaux évènements). Ces éléments peuvent être consignés dans un tableau. Une mise en commun du travail effectué est ensuite faite.

Exemple de travail attendu :

Chapitre 2. La mare de larmes

Personnages : Alice, le Lapin Blanc, la Souris, un Canard, un Aiglon, un Lori, un Dodo.

Lieu : Une mare formée par les larmes d’Alice.

Résumé : Alice devient géante. Elle s’aperçoit qu’elle ne pourra pas entrer dans le jardin et pleure. Ses larmes forment une mare d’eau. Elle croise le Lapin Blanc qui est effrayé. Il oublie son éventail magique qui permet à Alice de rétrécir. Elle se met à nager avec de nombreux animaux.

Cette activité préparatoire a pour but d’améliorer la compréhension générale de l’œuvre, ce qui permettra aux élèves d’être mieux outillés afin de résoudre les problèmes de lecture qui suivront.

Les élèves lisent le chapitre 7.

Activité 4 : La temporalité

But : Permettre d’amener les élèves à voir l’importance de la notion de temps dans l’œuvre pour ensuite distinguer la dimension onirique de la dimension réelle.

D’abord le temps est différent d’un personnage à l’autre. Le lapin blanc court après le temps perdu alors que le Chapelier fou et le lièvre de Mars sont coincés à l’heure du thé. C’est une volonté de l’auteur de représenter la notion du temps qui passe, si difficile chez les enfants (Bourgain, 2012 : 4).

À la suite de cette étude sur la temporalité, les élèves seront en mesure de comprendre que le monde des merveilles où Alice se retrouve représente le lieu de son rêve. En effet, elle s’endort sous un arbre (chapitre 1) et se réveille au chapitre 12 lorsqu’elle dit : « Quel rêve bizarre je viens de faire » (p. 175).

4.1 Étude de la personnification du temps

Le temps occupe une place capitale dans le rêve d’Alice. Au chapitre 7 (« Un thé extravagant »), la personnification du « Temps » permet de comprendre toute l’importance que l’auteur lui accorde.

En équipe de trois, les élèves relèvent tous les passages du chapitre où le « Temps » est évoqué ainsi que ceux relatifs à l’heure de la journée. Voici quelques exemples de passages qui pourraient être identifiés par les élèves :

— La montre du chapelier qui retarde de deux jours et qui « indique le jour du mois et n’indique pas l’heure! » (p.112);

— « Si tu connaissais le Temps aussi bien que moi, tu ne parlerais pas de le perdre » (p.113);

— « Le Temps ne supporte pas d’être battu » (p. 113);

— « Si seulement ça pouvait être l’heure du déjeuner! » (p. 114);

— Le fait que le chapelier et ses amis soient coincés à l’heure du thé (p. 115).

Chaque équipe doit ensuite tenter de trouver une interprétation possible à la personnification du temps. En confrontant leurs idées, ils pourront en venir à la conclusion que le temps du rêve n’obéit à aucune loi. Le lecteur doit accepter l’absurde de la situation, un peu comme le fait Alice. L’enseignant peut guider la discussion en demandant aux élèves de relever les caractéristiques du Temps. Une mise en commun permettra à l’enseignant de résoudre certains problèmes de compréhension qui pourraient subsister.

4.2 Différence entre le temps réel et le temps du rêve

Les élèves doivent identifier les deux dimensions présentes dans le récit : le temps du monde réel (chapitres 1 et 12) et le temps où Alice rêve (du chapitre 2 au chapitre 12). L’enseignant demande aux élèves de relever des indices qui permettent de distinguer les deux dimensions. Par exemple, l’absurde est l’une des marques du temps du rêve. Les élèves remarquent que la dimension onirique occupe une plus grande place dans l’œuvre. On a l’impression que le rêve s’étale sur une longue période de temps en raison du grand nombre de péripéties vécues par l’héroïne.

À ce moment, les élèves peuvent avoir de la difficulté à inférer que la chute dans le terrier du lapin correspond au moment où le rêve débute. En demandant aux élèves à quoi cette chute leur fait penser et à quel moment elle survient, l’enseignant devrait les amener à associer la descente au pays des merveilles au début du rêve. En effet, Alice tombe dans le terrier au moment où elle s’ennuie énormément. La chute peut faire penser à l’état de semi-éveil où on plonge doucement dans le sommeil.

Activité 5 : La taille d’Alice

But : Amener les élèves à comprendre pourquoi Alice change si souvent de taille.

L’enseignant identifie les chapitres où des changements de taille s’effectuent. Les élèves doivent y repérer deux passages où la taille d’Alice est modifiée. Par exemple, elle grandit au chapitre 4, redevient petite au chapitre 5, puis retrouve sa taille normale au dernier chapitre. Les élèves doivent également déceler le moyen qu’elle utilise pour changer de taille et la raison pour laquelle elle le fait. L’enseignant questionnera ensuite les élèves afin de les amener à réfléchir sur ces variations de taille. Il peut demander ce qui, selon les élèves, justifie un tel changement de grandeur. Il peut aussi questionner les élèves sur ce qu’ils se représentent lorsqu’ils visualisent les changements de taille d’Alice. Ce questionnement leur permettra de pousser la réflexion amorcée en équipe encore plus loin, puisque « sur le plan pédagogique, l’enseignement de la lecture littéraire doit faire l’objet d’une pédagogie du questionnement, de l’engagement et du dialogue » (Hébert, 2009 : 88).

Les élèves doivent ensuite relire le passage où Alice discute avec le ver à soie (chapitre 5). L’enseignant place les élèves en équipes de quatre afin qu’ils échangent sur les liens qu’ils peuvent faire entre cette discussion et le fréquent changement de taille d’Alice. Grâce à une mise en commun en plénière, les élèves devraient être en mesure de voir le lien entre la taille d’Alice et sa quête identitaire. Alice ne sait pas très bien qui elle est et cette incertitude est traduite par des changements de taille. Il est possible de proposer cette interprétation en raison du dernier chapitre où Alice retrouve sa taille normale et maitrise[1] désormais la transformation de son corps. À l’aide d’une discussion autour des changements qui s’effectuent lors de l’adolescence tant physiologiquement que physiquement, les élèves pourront faire des liens avec le personnage d’Alice

Les élèves poursuivent la lecture jusqu’au chapitre 10.

Activité 6 : L’absurde

But : Comprendre les jeux de langage afin de saisir l’humour présent dans l’absurde.

6.1 Le contraire de la logique

Afin d’introduire le thème de l’absurde, l’enseignant explique un rêve (ou l’un de ses propres rêves) rempli d’incohérences. Cette mise en situation permettra de faire le lien entre l’état de rêve et l’absurde. L’enseignant sépare ensuite la classe en trois grandes équipes et attribue à chacune un chapitre où des phénomènes illogiques se retrouvent (par exemple, l’épisode du thé chez les fous). Chaque équipe doit ensuite identifier un passage où les résultats de certaines actions ne correspondent pas aux lois du monde réel. Par exemple, tremper une montre dans le thé devrait briser son mécanisme alors que ce n’est pas le cas dans le conte (p.109). Il n’existe aucune logique au pays des merveilles. Il est possible d’expliquer cette absence de réalisme par le fait qu’Alice est en plein rêve. Les élèves sont ainsi amenés à saisir le côté absurde du récit.

6.2 L’absurde dans le langage

Le chapitre 9 est le plus riche de l’œuvre en matière de jeux de langage. En effet, on y retrouve de nombreux jeux de mots qui prouvent que les personnages se jouent des règles de la langue. Il est donc intéressant de travailler ce chapitre afin de permettre aux élèves de saisir l’absurdité que l’auteur a tenté d’illustrer à travers le langage.

6.2.1 Introduire les jeux de mots

Afin de permettre aux élèves de se familiariser avec les jeux de mots, un travail sera effectué sur le texte Le crépuscule des vieux (http://fjord.areq.ca/FichiersPDF/Quel%20po%C3%A8te%20notre%20Sol%20national.pdf) de Marc Favreau, alias Sol. Les élèves ne sont pas habitués à ce genre d’humour et risqueraient de ne pas saisir le sens qu’apportent les jeux de mots au texte. En équipe, les élèves doivent identifier les jeux de mots du texte de Favreau et déduire leur sens. Par exemples, «on les interruptionne, on les retraite fermée» ou «ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe», faisant référence à certaines conditions des personnes âgées. Le nombre d’élèves par équipe importe peu. Il est cependant nécessaire de faire travailler les élèves ensemble afin qu’ils soient en mesure de confronter leurs interprétations, puisque « les discussions entre pairs [permettent] aux élèves de générer, de verbaliser et de confronter leurs propres opinions et questions, [ce qui] favorise la compréhension ou l’interprétation des textes littéraires » (Hébert, 2009 : 91). Une mise en commun des interprétations devrait permettre aux élèves de comprendre comment travailler les jeux de langage. 

6.2.2 Le langage dans le chapitre 9

Les élèves relisent le chapitre 9 et identifient les jeux de mots et les passages où le sens des mots est évoqué, travail possible grâce à l’exercice effectué à l’aide du texte de Favreau. Par exemple, le personnage du Griffon joue sur les homophones « cours » et « court » (p. 145). Individuellement, ils devront expliquer ce que ces jeux de mots signifient et en quoi ils amènent de l’humour au chapitre. Ils seront ensuite placés en équipe afin de confronter leurs représentations.

Au terme de ce travail sur la langue, les élèves devraient comprendre que l’absurde est non seulement présent dans les évènements qui surviennent au pays des merveilles, mais également dans le rapport qu’ont les personnages au langage.

Après la lecture

Activité 7 : Visionnement d’extraits du film Alice au pays des merveilles de Tim Burton

But : Amener les élèves à comprendre l’évolution du personnage d’Alice à travers le temps.

Dans l’œuvre de Carroll, Alice est enfant au moment de sa visite au pays des merveilles, alors que dans le film de Burton, elle a 19 ans et y retourne. Il est alors intéressant de faire voir aux élèves comment Alice réagit à son univers fantastique une fois rendue au début de l’âge adulte.

L’enseignant ciblera trois chapitres dont les évènements ont été transposés dans l’œuvre cinématographique. Par exemple, la chute dans le terrier du lapin blanc (chapitre 1), la rencontre avec le ver à soie (chapitre 5), ou encore l’épisode du thé (chapitre 7) se retrouvent autant dans le livre que dans le film. L’enseignant fait relire les passages en question et projette les extraits du film en lien avec ces passages.

Le travail demandé aux élèves est de relever les principaux éléments qui diffèrent entre les deux supports. L’enseignant souligne de porter une attention particulière à l’attitude d’Alice par rapport aux évènements qui surviennent.

La mise en commun en plénière du travail effectué ainsi que les questionnements de l’enseignant devraient permettre aux élèves de voir qu’Alice a beaucoup plus de confiance en soi dans la version cinématographique. Par exemple, lors de sa première rencontre avec le ver à soie (dans le conte), elle se garde de se mettre en colère et fuit les questions du ver. À 19 ans, elle argumente avec le personnage, le contredit et va même jusqu’à être arrogante. Toujours en questionnant les élèves, l’enseignant soulèvera la possibilité qu’Alice, en raison de sa maturité, adopte un changement d’attitude.

Une fois le travail effectué sur chacun des chapitres choisis par l’enseignant, les élèves devraient être en mesure de comprendre que l’évolution de la personnalité d’Alice modifie ses interactions avec les personnages du monde des merveilles.

Activité 8 : Réécriture d’un chapitre

Buts : Permettre aux élèves de réinvestir le travail d’interprétation fait sur l’œuvre. Évaluer de manière sommative les apprentissages des élèves.

Après avoir vu Alice retourner au pays des merveilles à 19 ans, les élèves devront imaginer son retour dans l’univers merveilleux à l’âge de 60 ans. Tous ses amis ont vieilli, le royaume a changé et elle-même a évolué. Afin de réaliser cette tâche d’écriture, l’enseignant distribuera la consigne suivante :

Tu dois choisir un chapitre des Aventures d’Alice au pays des merveilles et imaginer qu’Alice revit les évènements qui s’y produisent. Cependant, elle a désormais 60 ans. Les personnages de l’histoire ont probablement changé et Alice n’est plus la même. Voit-elle encore les choses avec ses yeux d’enfant? Tu devras respecter l’univers absurde de Lewis Carroll en insérant au moins deux jeux de mots dans ton texte et en recréant le monde du rêve dans lequel est plongée Alice.

Cette évaluation sommative nécessite que les élèves aient bien saisi les éléments interprétatifs dont il a été question tout au long de la séquence d’apprentissage. En effet, ils devront être en mesure d’utiliser les différentes dimensions du récit (le rêve et la réalité), de montrer l’évolution psychologique d’Alice et d’employer les jeux de langage afin de recréer l’ambiance absurde instaurée par Carroll.

Conclusion

Au terme de cette séquence didactique, les élèves devraient être en mesure de résoudre les problèmes de lecture identifiés précédemment, c’est-à-dire comprendre le parallèle entre le pays des merveilles et le monde du rêve, interpréter le symbole de la taille d’Alice et se distancier du langage afin de saisir l’absurde présent dans l’œuvre. À l’aide des activités structurées de manière cohérente autour de ces objectifs, les élèves devraient parvenir à comprendre et interpréter le texte à l’étude dans un but de lecture littéraire.

Bibliographie

Œuvre à l’étude

CARROLL, Lewis, les aventures d’Alice au pays des merveilles, Édition de Jean Gattégno, Folio Classique, 2005, 196 p.

Autres textes

FAVREAU, Marc, Le crépuscule des vieux, 1978. [en ligne]

http://fjord.areq.ca/FichiersPDF/Quel%20po%C3%A8te%20notre%20Sol%20national.pdf.

PERREAULT, Charles, « Le petit chaperon rouge » dans Les Contes de la mère l’Oye, 1698 [en ligne]

http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Petit_Chaperon_rouge_(Perrault).

Ouvrages de référence

BOURGAIN, Antoine, Lire Alice au pays des merveilles avec, en parallèle, des transpositions cinématographiques. Mémoire de maitrise, Nord-Pas-de-Calais, Université d’Artois, septembre 2012, 32 p.

FALARDEAU, Érick, Grille d’évaluation formative informatisée, 2e cycle du secondaire, Université Laval, 2012 [en ligne]

http://www.enseignementdufrancais.fse.ulaval.ca/grille_correction_custom?type_doc=narratif.

FALARDEAU, Érick, « La place des lecteurs dans les classes de littérature » dans Québec français, numéro 135, automne 2004, p. 38-41.

HÉBERT, Manon, « Cercles littéraires et journal de lecture comme éléments d’intervention en didactique de la littérature » dans Revue du Nouvel-Ontario, numéro 34, 2009, p. 83-117.

Ministère de l’Éducation, des Loisirs et du Sport, Programme de formation à l’école secondaire québécoise (enseignement secondaire, premier cycle), 2006, 145 p.

Ministère de l’Éducation, des Loisirs et du Sport, Progression des apprentissages au secondaire, 2011, 89 p.



[1] Ce texte adopte l’orthographe rectifiée.


---
© 2024, Université Laval
Ce texte est protégé par la loi sur les droits d'auteur. Il peut cependant être utilisé à des fins éducatives. Nous vous prions d'en indiquer la source lors d'une éventuelle utilisation.


À propos | Aide | Contactez-nous