Il y a très peu d'effets audiovisuels.

  Puisqu'il s'agit d'un site qui vise à vendre des produits alcoolisés, il faut faire preuve de jugement dans l'utilisation de cette ressource pour éviter de choquer ou de faire la promotion de la bière.

  Il y a un formulaire de commentaires et toutes les informations sont disponibles pour communiquer avec les gens de Unibroue.

  

  

  Les textes témoignent du fait que les gens de Unibroue sont de véritables experts dans leur domaine.

  

  Des coquilles très mineures apparaissent, mais le vocabulaire est riche.

  

  

  Grâce à la description de ce qui a inspiré diverses bières et grâce aux illustrations des étiquettes, il est possible de considérer que Unibroue tente de constituer une mémoire collective, ce qui permet de faire un lien avec les objectifs d'une littérature nationale. Des oeuvres, des personnages et des événements du passé sont récupérés, d'où la possibilité de se servir du site pour aborder le folklore, l'imaginaire et l'histoire du Québec. Par exemple, La Bolduc permet de faire un lien avec la chanson. La Maudite et la Trois Pistoles font référence aux contes fantastiques canadiens-français du XIXe siècle (chasse-galerie et légende du cheval noir). De plus, la Fin du monde et la Don de Dieu permettent de faire un parallèle avec les récits de découverte comme ceux de Samuel de Champlain. Quant à l'étiquette de la Raftman, elle aide les élèves à se représenter les personnages de Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard. Ensuite, la bière Kamouraska rappelle l'oeuvre d'Anne Hébert tout comme la Trois-Pistoles peut permettre d'introduire Victor-Lévy Beaulieu. Finalement, la 1837 nous plonge à l'époque des Patriotes et, donc, du patriotisme canadien-français.